Mise en place d’une veille internationale – Les outils utilisés

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Quels sont les outils utilisés exploitables dans le cadre de la mise en place d’une veille internationale ? 

Les sources d’informations permettant de réaliser une veille informationnelle au niveau international sont très nombreuses. Il y a en fait plusieurs niveaux : 

  • Les réseaux sociaux : ils constituent en effet une première source d’information diverse et gratuite ;

  • Les outils de partage et de communication : Slack, pocket, etc. ;

  • Les outils de veille : ils ont été créés pour cela.

Certains outils de veille sont en fait des agrégateurs de flux RSS. Les agrégateurs de flux RSS sont des outils que l’on va paramétrer pour automatiquement récolter les informations que diffuse un site. 

Ainsi, la plupart des blogs d’informations, des journaux, des sites spécialisés, etc., proposent des flux RSS.

Il « suffit » donc de déterminer les sites principaux que l’on souhaite suivre et d’y intégrer un agrégateur de flux RSS pour collecter et stocker automatiquement l’information diffusée par chacun des sites.

Parmi les outils de veille via un agrégateur de flux RSS, nous retrouverons donc par exemple : 

  • Feedly ;

  • Inoreader ;

  • Netvibes.

Parmi les outils de veille plus généraux, nous retrouverons, par exemple : 

  • Alerti ;

  • Flipboard ;

  • Scoop.it ;

  • Zapier.

Chaque outil possédant son prix, ses caractéristiques et ses fonctionnalités.

Le niveau d’accessibilité de l’information est distingué en trois grandes parties : 

  • Les informations très accessibles (information blanche) qui représentent environ 8080 % des informations ;

  • Les informations moyennement accessibles (information grise) qui représentent environ 1515 % des informations. Celles-ci sont dites moyennement accessible, car leur accès peut être payant ou leur lecture peut être rendue difficile (lorsque la donnée n’est pas structurée correctement ou que les sources ne sont pas fournies, par exemple) ;

  • Les informations inaccessibles (information noire) qui représentent environ 55 % des informations. Il s’agit souvent d’informations comportant de grands enjeux stratégiques. Celles-ci sont donc des informations confidentielles, non-partagées par les organisations.