La méthodologie de réussite de cette épreuve réside dans une préparation par l’apprentissage des connaissances et la mise en pratique.
En effet, il s’agit d’une épreuve qui nécessite de nombreuses connaissances théoriques, il est donc crucial de s’imprégner des fiches de révisions de la matière.
Il est également important de s’exercer en imaginant des situations d’échanges internationaux et en y répondant avec les propositions les plus pertinentes qui soient, en s’appuyant sur les éléments de cours. Cet exercice est crucial pour la préparation de l’épreuve, car c’est exactement ce en quoi elle consiste : la réponse à apporter face à une analyse de cas contextualisée.
L’épreuve débute donc avec la transmission au candidat d’une étude de cas avec des annexes. L’épreuve durant h, cette étude de cas peut avoir un volume conséquent.
Il convient donc de faire attention au chrono : lire l’étude dans son ensemble en prenant des notes sans y passer plus de minutes.
Le candidat rédige ensuite les réponses aux questions posées dans le cas.
Lors de la rédaction, il est crucial de :
Soigner son écriture et son style de rédaction ;
Ne pas se contenter de mobiliser des connaissances, mais démontrer le lien entre ces connaissances en les appliquant dans le contexte proposé par le sujet (il s’agit d’un des critères auquel les correcteurs sont très attentifs) ;
Synthétiser les réponses, voire faire un tableau (en effet, il ne s’agit pas d’une épreuve littéraire, les critères d’évaluations reposent sur la pertinence des réponses et le professionnalisme de la copie, il est donc conseillé de synthétiser ses réponses, en faisant des phrases plutôt courtes et en utilisant des tableaux lorsque cela semble plus pertinent pour faciliter la lecture).